Tous les mois, nous vous présentons un nouveau portrait de pilote. Pour la rentrée, Maxime Boivin vous présente son quotidien chez Legal Pilot.
Qu’est-ce que tu peux nous dire sur toi ?
Je suis alternant en 5e année en tant que développeur full stack chez
Legal Pilot. Je suis lyonnais et passionné de foot depuis gamin.
Quelles sont tes missions chez Legal Pilot ?
En tant que développeur chez Legal Pilot, mes missions sont plutôt variées. J’interviens la plupart du temps sur la partie visible du logiciel (la partie front), où je propose une partie des designs que l’on peut retrouver sur certaines fonctionnalités sur lesquels je peux travailler.
J’œuvre aussi un petit peu sur la partie back (partie non-visible pour vous utilisateurs) pour la réalisation de certaines fonctionnalités.
Je suis également en charge de concevoir et réaliser certaines des fonctionnalités du logiciel LP et je me charge aussi parfois de certains bugs urgents à résoudre qu’il peut y avoir sur la PROD.
Qu’est ce qui t’a poussé à rejoindre l’aventure Legal Pilot ?
La liberté que je peux avoir sur le code que je produis tout en suivant les directives sur les fonctionnalités à produire. Être témoin de l’entièreté du produit et participer à son élaboration est très enrichissant.
De plus, la flexibilité au niveau des horaires et le télétravail possible sont un réel avantage aujourd’hui.
Outre la flexibilité de travail et la liberté dans le code, c’est un vrai bonheur de travailler avec cette équipe au quotidien bien que certains soient en remote, le CTO instaure une bonne ambiance et intègre bien les petits nouveaux ce qui rend l’ambiance de l’équipe très bonne !
Est-ce que travailler dans une LegalTech quand on ne connaît pas le monde droit t’as posé des difficultés ?
Je suis arrivé il y a maintenant 4 ans chez Legal Pilot, j’avais encore 17 ans et je n’y connaissais absolument rien au monde du droit. J’étais donc un peu perdu lors de certaines réunions traitant des points précis et sur certains sujets abordés lors de la conception de certaines fonctionnalités et c’était donc assez compliqué de proposer des idées ou même simplement de comprendre ce qu’il se disait n’y connaissant pas grand-chose.
Mais à l’heure d’aujourd’hui, ça ne pose plus de problème car j’ai pu apprendre énormément de choses au côté des avocats de LP en discutant avec eux et à force de voir certaines informations passer dans le logiciel.
Quel a été ton plus gros défi en tant que développeur ?
Étant donné que je suis arrivé chez LP sans aucune expérience et en ne connaissant presque rien du métier de développeur, Nicolas (CTO) a dû me former intensivement à mes débuts pour que je puisse être opérationnel rapidement, c’est ce que j’ai eu de plus dur à affronter jusqu’à maintenant, même si l’autoformation reste obligatoire dans ce métier.
Après j’ai la responsabilité sur certaines fonctionnalités du logiciel et forcément que ce sont chacun des défis, tout dépend de la complexité de la feature.
Vous souhaitez nous rejoindre ? Retrouvez toutes nos offres d’emploi juste ici.
